Alors qu’un beau papillon jaune pétulant
T’enveloppe de ses ailes acidulées
Tes yeux verts, grands, ouverts, tentent de le chasser.
Ton ombrageuse jalousie fait fuir l’ami,
Mais l’ennui est le camarade de l’envie.
Et pourtant rien ne t’égare jamais, oui, toi
L’homme brillant aux dents acérées de lézard
Qui de papillons tremblants se nourrit.
Poème de très belle facture 😉 à la frontière de l’audace de la fontaine et de l’hermétisme mallarméen ^^
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Merci, cher poète maudit, pour ce très beau compliment ! 😉
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